El Mouhtadi I., Agouzzal M., Guy F. (2014). Lolivier au Maroc. OCL : Oléagineux, Corps Gras, Lipides = Oilseeds & fats Crops and Lipids, 01/03/2014, vol. 21, n. 2, p. 1-3.
https://doi.org/10.1051/ocl/2013053
https://doi.org/10.1051/ocl/2013053
Titre : | Lolivier au Maroc (2014) |
Auteurs : | I. El Mouhtadi ; M. Agouzzal ; F. Guy |
Type de document : | Article |
Dans : | OCL : Oléagineux, Corps Gras, Lipides = Oilseeds & fats Crops and Lipids (vol. 21, n. 2, 01/03/2014) |
Article en page(s) : | p. 1-3 |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM OLEA EUROPAEA ; VARIETE ; OLIVE ; HUILE D'OLIVE ; AGRICULTURE INTENSIVE ; PLAN DE DEVELOPPEMENT ; SOUS PRODUIT D'HUILERIE ; DONNEE DE PRODUCTION ; MAROCCatégories principales 10 - INDUSTRIES ; 10.4 - Huile d'Olive |
Résumé : |
Lolivier est une culture traditionnelle sur le pourtour de la Méditerranée. Il est donc naturel de trouver cet arbre au Maroc où il est présent depuis des siècles. Cultivé surtout traditionnellement jusquà ses dernières années, il fait lobjet maintenant dun plan de valorisation très ambitieux pour non seulement garder le Royaume à son niveau actuel (2e producteur mondial pour lolive de conserve et 6e pour lhuile dolive) mais pour conquérir de nouveaux marchés au niveau mondial et profiter ainsi de lengouement que connaît cette huile reconnue pour ses bienfaits. Le plan national « Maroc Vert » permet ainsi, grâce à des subventions conséquentes, non seulement de renouveler les vergers existant avec la variété traditionnelle picholine du Maroc, mais également la plantation de nouvelles variétés en super-intensif dans le but dindustrialiser au maximum de nouveaux vergers. Il en est de même pour la transformation des olives en huile de bonne qualité avec la mise en place dunités de trituration modernes qui doivent supplanter à terme la multitude de « maâsra » et réduire ainsi limpact environnemental dû aux margines. Lolive ne sera plus dans lavenir que représentée par son huile et ses formes comestibles, mais les résidus de son extraction seront valorisés soit sous forme de combustible élaboré pour le grignon, soit sous forme dune base de chimie verte pour les sous-produits du raffinage. Dautres applications sont actuellement à létude, car le Maroc a compris, comme tous les autres grands pays producteurs, que lolive était un nouveau gisement de richesses.
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Cote : | En ligne |
URL / DOI : | https://doi.org/10.1051/ocl/2013053 |