Diouf A.A.S. (2014).
Analyse technico-économique des dossiers de financements de la recherche ou du transfert de technologie en lutte biologique dans les pays d'Afrique de l'Ouest. Mémoire (Master 2 DTP) : CIHEAM-IAMM, Montpellier. 60 p. Master 2. Ingénierie des Projets et des Politiques Publiques. Parcours IAMM : Développement Territorial et Projets [DTP]. Cohabilitation Université Montpellier I, CIHEAM-IAMM. Confidentiel
Titre : | Analyse technico-économique des dossiers de financements de la recherche ou du transfert de technologie en lutte biologique dans les pays d'Afrique de l'Ouest |
Auteurs : | A.A.S. Diouf |
Type de document : | Thèse, Mémoire, Master |
Editeur : | s.l. : s.n., 2014 |
Format : | 60 p. |
Note générale : | Master 2. Ingénierie des Projets et des Politiques Publiques. Parcours IAMM : Développement Territorial et Projets [DTP]. Cohabilitation Université Montpellier I, CIHEAM-IAMM. Confidentiel |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM CULTURE MARAICHERE ; PESTICIDE ; LUTTE BIOLOGIQUE ; SENEGALCatégories principales 06 - AGRICULTURE. FORÊTS. PÊCHES ; 6.6 - Technique Agricole (sols, engrais, mécanisation) |
Résumé : | Ce mémoire porte sur lanalyse technico-économique des dossiers de financements de la recherche ou du transfert de technologie en lutte biologique dans les pays dAfrique de lOuest, plus précisément au Sénégal. Cette étude concerne principalement le maraîchage mais aussi dautres filières, la mangue et larachide. Au terme de notre analyse, nous avons pu constater que lagriculture occupe près de 60 % de la population active et contribue à hauteur de 10 % à la formation du PIB. Le secteur horticulture y occupe une place très importante avec une production de 800 000 tonnes en 2013 soit un chiffre daffaires sélevant à près de 34 milliards de F CFA par campagne. Le maraîchage représente ainsi plus de 50 % de cette production. Cependant pour la protection phytosanitaire, lagriculture sénégalaise utilise beaucoup de pesticides : en moyenne 598 tonnes solides et 1336 560 litres liquides par an avec 300 spécialités commerciales contre 189 autorisées pour une valeur de près de 10,5 milliards de francs CFA. Le maraîchage et la production de fruits utilisent 20 % des quantités destinées au secteur agricole. Lutilisation des pesticides, leur impact négatif sur la santé et lenvironnement ainsi que leur toxicité suscitent de nombreuses inquiétudes. Des alternatives existent comme la lutte biologique et le biocontrôle. |
Nature du diplôme : | Mémoire (Master 2 DTP) |
Université de soutenance : | CIHEAM-IAMM |
Ville de l'université de soutenance : | Montpellier |
Cote : | SEN-I75-DIO-2014 |
Directeur de Thèse : | Le Grusse P. |
Membres du Jury : | Le Grusse P.; Requier-Desjardins M. |