Laamiri M.A. (2018).
Les céréales en Tunisie : une nourriture qui coûte cher. Mémoire (Master of science) : CIHEAM-IAMM, Montpellier (France). 160 p. (Master of Science : Professionnel, n. 951). Master soutenu, Initiative ENPARD Méditerranée (Commission Européenne)
Titre : | Les céréales en Tunisie : une nourriture qui coûte cher |
Auteurs : | M.A. Laamiri |
Type de document : | Thèse, Mémoire, Master |
Editeur : | Montpellier [France] : CIHEAM-IAMM, 2018 |
Collection : | Master of Science : Professionnel, num. 951 |
Format : | 160 p. |
Note générale : | Master soutenu, Initiative ENPARD Méditerranée (Commission Européenne) |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM CEREALE ; FILIERE ; APPROVISIONNEMENT ; DONNEE DE PRODUCTION ; PERTE APRES RECOLTE ; PERTE AU COURS DU TRAITEMENT ; PERTE A LA RECOLTE ; PERTE AU STOCKAGE ; IMPORTATION ; COUT ; POLITIQUE DE SOUTIEN ; SYSTEME DE COMPENSATION ; TRAITEMENT ; OFFICE DE COMMERCIALISATION ; CONSOMMATION ALIMENTAIRE ; TUNISIECatégories principales 11 - COMMERCE ; 11.2 - Commercialisation. Distribution |
Résumé : | La production des céréales en Tunisie ne progresse plus compte tenu de la sécheresse et des variétés utilisées qui ne sont plus adaptées ni au climat ni au sol du pays. Les pertes au champ aggravent la situation en réduisant les quantités collectées. La collecte nationale, quant à elle, connaît certains problèmes tels que les conflits entre les intervenants et les dettes accumulées des mutuelles. Dans ce cas, lEtat se trouve dans lobligation dimporter des céréales pour compléter les besoins de sa population. Il passe alors par son mandataire, lOffice des Céréales qui, après avoir versé des marges aux collecteurs, doit réaliser des importations risquées et coûteuses via un « open budget » en application de la politique gouvernementale dont le but est de combler les besoins immédiats du pays. LOffice doit également construire un stock stratégique mais les infrastructures anciennes et fragiles favorisent les pertes au stockage des céréales pourtant chèrement acquises. Le système de compensation appliqué complique la situation car il donne une grande valeur monétaire pour chaque quantité de blé ou dorge perdue au sein de la filière (de la production jusquà la consommation). Il en résulte alors soit un manque à gagner pour lagriculteur et le collecteur, soit une perte monétaire pour lEtat. Lobjectif est de permettre aux Tunisiens de consommer du couscous ou du pain à bas prix. Malgré le gaspillage occasionné, le système reste subventionné. |
Nature du diplôme : | Mémoire (Master of science) |
Université de soutenance : | CIHEAM-IAMM |
Ville de l'université de soutenance : | Montpellier (France) |
Cote : | TUN-M31-LAA-2018 |
Directeur de Thèse : | Requier-Desjardins M. |
Président du Jury : | Le Grusse P. |
Membres du Jury : | Galtier F.; Requier-Desjardins M.; Rolland J.-P. |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
27850 | TUN-M31-LAA-2018 | Papier | Centre de documentation | Réserve Géographique | Disponible |