Montigaud J.-C., Sabra R. (2004). Les filières fruits et légumes frais au Liban : structures, fonctionnement et perspectives. Beyrouth (Liban) : Ambassade de France. 60 p.
http://eumed-agpol.iamm.fr/doc/liban444final.pdf
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Titre : | Les filières fruits et légumes frais au Liban : structures, fonctionnement et perspectives |
Auteurs : | J.-C. Montigaud ; R. Sabra ; H. Chahine ; P. Henri |
Type de document : | Ouvrage |
Editeur : | Beyrouth [Liban] : Ambassade de France, 2004 |
Format : | 60 p. |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM FRUITS ET LEGUMES ; MONDIALISATION ; FILIERE ; VENTE EN GROS ; NORMALISATION ; ZONE DE LIBRE ECHANGE ; DONNEE STATISTIQUE ; DONNEE DE PRODUCTION ; IMPORTATION ; EXPORTATION ; ACCORD COMMERCIAL ; ACCORD D'ASSOCIATION COMMUNAUTAIRE ; LIBANCatégories principales 06 - AGRICULTURE. FORÊTS. PÊCHES ; 6.4 - Production Agricole. Système de Production |
Résumé : | A la suite de linsertion du Liban dans un processus de libéralisation des échanges (avec lUnion européenne, les pays limitrophes, ceux du GAFTA), ce pays doit affronter un environnement international de plus en plus exigeant. Il en résulte une économie des fruits et légumes en perte de vitesse (% élevé dagriculteurs âgés, processus de déprise, diminutions des exportations en particulier vers les pays du Golfe) avec cependant présence dune frange dexploitations modernes et intensives dopées par une grande distribution en pleine expansion. Au sein de cette problématique, lobjectif de ce travail est de repérer sur les filières fruits et légumes les freins dordre technique, économique, voire institutionnel, les possibilités de progrès, les enjeux correspondants et éventuellement les solutions à mettre en oeuvre. A cet effet, la méthode utilisée est celle des systèmes appliquée aux filières doublée de lutilisation en filigrane de léconomie industrielle (analyse stratégique, coûts de transaction). Les principaux résultats mettent laccent, dune part, sur la nécessité de réformer les circuits de distribution (accroître la valeur revenant au producteur) et, pour cela, faire évoluer impérativement les marchés de gros vers plus de transparence, introduire un début de classification des produits et utiliser les prix comme instrument dajustement, et dautre part, démarrer un processus dorganisation de loffre (création de groupements de producteurs et de coopératives, mise en place dune vulgarisation, de centres de gestion permettant de mesurer les coûts). Mais ces réformes longues et coûteuses se heurtent à labsence de politique agricole et au déficit de réglementations en particulier pour faire fonctionner les marchés. Est-ce que lEtat libanais et la société libanaise en général sont prêts à rentrer dans un tel processus et en payer le prix ? |
Cote : | En ligne |
URL / DOI : | http://eumed-agpol.iamm.fr/doc/liban444final.pdf |