Afouda A.S.O. (1994). Politiques nationales et échanges frontaliers de produits agroalimentaires entre le Nord Nigéria et le Nord Cameroun : exemple de l'espace Garoua-Gamboru. Montpellier (France) : CIHEAM-IAMM. 108 p. (Master of Science, n. 24).
https://www.iamm.ciheam.org/ress_doc/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19928
https://www.iamm.ciheam.org/ress_doc/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19928
Titre : | Politiques nationales et échanges frontaliers de produits agroalimentaires entre le Nord Nigéria et le Nord Cameroun : exemple de l'espace Garoua-Gamboru |
Titre original: | [National policies and flow of agrofood products in the frontier zone of North Nigeria and North Cameroon: the Garoua-Gamboru example] |
Auteurs : | A.S.O. Afouda |
Type de document : | Ouvrage |
Editeur : | Montpellier [France] : CIHEAM-IAMM, 1994 |
Collection : | Master of Science, num. 24 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-85352-137-6 |
Format : | 108 p. / 97 réf., cart.: 6, 60 tabl., 11 graph. |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM CAMEROUN ; NIGERIA ; POLITIQUE AGRICOLE ; COMMERCE INTERNATIONAL ; PRODUIT ALIMENTAIRE ; DEVELOPPEMENT REGIONAL ; SECTEUR INFORMEL ; INTEGRATION FRONTALIERECatégories principales 11 - COMMERCE ; 11.3 - Commerce Extérieur et International |
Résumé : | Après le commerce caravanier qui, pendant la période précoloniale, a dynamisé l'ensemble du Nord Nigeria et du Nord Cameroun, l'avènement de la colonisation et des indépendances qui s'est traduit par le tracé d'une frontière, a favorisé l'essor d'une nouvelle forme de commerce, les échanges frontaliers, qui portent sur une gamme variée de marchandises, dont les produits vivriers locaux (mil, sorgho, maïs, niébé, haricot, arachide, riz) et les céréales importées (riz, farine de blé). L'intensité des transactions dépend des disparités de politiques agricoles, monétaires, et de commerce extérieur entre le Nigeria et le Cameroun. Mais la grande partie des échanges qui s'effectuent d'un pays à l'autre n'est pas comptabilisée par les Etats. Ce fait procède de l'organisation des activités commerciales et de la stratégie des commerçants avec leurs hommes de main. En raison du manque à gagner pour le Trésor Public, les échanges frontaliers sont qualifiés d'informels, de parallèles, d'illégaux, de clandestins... Pourtant, ils ont, à bien des égards, des effets directs et induits positifs qui se traduisent dans la région notamment par une circulation monétaire, une augmentation de la production et une polarisation spatiale. La question qui se pose désormais est de savoir s'il faut apprécier l'impact de ces échanges en fonction des intérêts budgétaires des Etats, ou du point de vue des avantages socio-économiques des populations. Cette publication est issue de la thèse Ms. Sc. soutenue en 1991 |
Cote : | AFR.O-M41-AFO-1994 |
URL / DOI : | https://www.iamm.ciheam.org/ress_doc/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19928 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
21210 | AFR.O-M41-AFO-1994 | Papier | Centre de documentation | Réserve Géographique | Disponible |
Documents numériques (1)
![]() CI950453.pdf Adobe Acrobat PDF |