Layazid J. (2010).
Les modalités et les stratégies de lutte contre l'érosion des sols dans la partie nord de l'Algérie : cas des zones de montagne. Mémoire (Master 2 IDTR SOTERN) : CIHEAM-IAMM, Montpellier (France). 82 p. Mémoire Master 2 Recherche. Innovation et Développement des Territoires Ruraux [IDTR]. Parcours : Sociétés Rurales, Territoire et Gestion des Ressources Naturelles [SOTERN]. Cohabilitation Université Montpellier III, Montpellier SupAgro, CIHEAM-IAMM
Titre : | Les modalités et les stratégies de lutte contre l'érosion des sols dans la partie nord de l'Algérie : cas des zones de montagne |
Auteurs : | J. Layazid |
Type de document : | Thèse, Mémoire, Master |
Editeur : | s.l. : s.n., 2010 |
Format : | 82 p. / réf., graph., tabl. |
Note générale : | Mémoire Master 2 Recherche. Innovation et Développement des Territoires Ruraux [IDTR]. Parcours : Sociétés Rurales, Territoire et Gestion des Ressources Naturelles [SOTERN]. Cohabilitation Université Montpellier III, Montpellier SupAgro, CIHEAM-IAMM |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM EROSION HYDRIQUE ; DEGRADATION DU SOL ; LUTTE ANTIEROSION ; EVALUATION ; PLAN NATIONAL ; DEVELOPPEMENT AGRICOLE ; DEVELOPPEMENT RURAL ; PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT ; ALGERIECatégories principales 07 - ENVIRONNEMENT ; 7.5 - Dégradation : Impact, Désertification |
Résumé : | L’érosion des sols est un problème auquel l’Algérie est confronté depuis de nombreuses années. L’évaluation de l’efficacité des techniques de Défense et de Restauration des Sols (DRS), mises en place dans les années 40 et basées sur la réalisation de grandes infrastructures hydro-agricoles ainsi que sur le reboisement de vastes surfaces, a montré que les sols continuent de se dégrader et les barrages de s’envaser. L’absence de concertation avec les communautés rurales installées sur les bassins versants explique en partie cet échec. Les ouvrages de la DRS ont malgré tout le mérite d’exister et ont contribué à réduire l’impact de l’érosion surtout dans les terres à forte pente. Dans les années 80, la Gestion Conservatoire de l’Eau et de la fertilité du Sol (GCES), s’appuie sur les techniques traditionnelles et la participation des populations rurales. Cette nouvelle stratégie modeste semble efficace pour réduire le risque d’érosion sur de petites parcelles mais est incapable de faire face à l’ampleur du phénomène d’érosion des terres abruptes. Actuellement, la lutte antiérosion s’intègre au Projet d’Emploi Rural, programme très ambitieux qui ne concerne cependant que quelques wilayates de l’Ouest algérien alors que le phénomène est global. A l’issue de ce tour d’horizon, le bilan paraît globalement négatif : les moyens financiers, techniques et humains n’ont jamais été à la hauteur de l’ampleur du phénomène de dégradation et l’impératif de gestion permanente du milieu n’a pas été érigé en ligne de conduite par ceux qui en ont la charge. Aujourd’hui le problème reste posé et l’accroissement de la population contribue à l’aggravation du phénomène. |
Nature du diplôme : | Mémoire (Master 2 IDTR SOTERN) |
Université de soutenance : | CIHEAM-IAMM |
Ville de l'université de soutenance : | Montpellier (France) |
Cote : | ALG-I70-LAY-2010 |
Directeur de Thèse : | Bessaoud O. |
Membres du Jury : | Bessaoud O.; Zeraïa L. |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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22204 | ALG-I70-LAY-2010 | Papier | Centre de documentation | Réserve Géographique | Disponible |