Faysse N., El Amrani M., Errahj M., Addou H., Slaoui Z., Thomas L., Mkadmi S. (2014). Des hommes et des arbres : relation entre acteurs dans les projets du Pilier II du Plan Maroc Vert. Alternatives rurales, 01/03/2014, n. 1, p.1-9.
http://alternatives-rurales.org/wp-content/uploads/2014/03/BilanPilierIIPourImprimer1.pdf
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Titre : | Des hommes et des arbres : relation entre acteurs dans les projets du Pilier II du Plan Maroc Vert (2014) |
Auteurs : | N. Faysse ; M. El Amrani ; M. Errahj ; H. Addou ; Z. Slaoui ; L. Thomas ; S. Mkadmi |
Type de document : | Article |
Dans : | Alternatives rurales (n. 1, Mars 2014) |
Article en page(s) : | p.1-9 |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Français |
Catégories : |
Catégories principales 04 - DEVELOPPEMENT LOCAL ET REGIONAL ; 4.1 - Territoire (généralités). Economie Régionale et Spatiale. Aménagement du TerritoireThésaurus IAMM PLAN MAROC VERT ; MAROC ; AGRICULTURE ; PROJET DE DEVELOPPEMENT ; CONCEPTION ; CULTURE FRUITIERE ; POLITIQUE AGRICOLE |
Résumé : | Nous présentons ici une analyse des relations entre acteurs dans la conception et la réalisation de 8 projets du Pilier II à vocation arboricole, situés dans les provinces de Meknès, El Hajeb, Ifrane et Séfrou. Dans quelques projets, les agriculteurs ont activement négocié le contenu de ces projets, tandis que dans les autres cas, ils ont accepté un projet déjà conçu. La phase de réalisation est marquée par la relation peu structurée entre entrepreneurs et agriculteurs, qui nont que peu de pouvoir daction lorsquils estiment que les entrepreneurs neffectuent pas correctement les tâches prévues. Les projets ont permis de réaliser des plantations et, dans un cas, une amélioration des conditions de commercialisation de leur production (la composante de commercialisation nétait pas encore mise en uvre dans la plupart des projets étudiés). De plus, ces projets ont permis à certains collectifs dagriculteurs de renforcer leurs capacités à définir des projets et les proposer à ladministration. Ceci justifie lintérêt dune réflexion au niveau des territoires, car ces nouvelles capacités ne concernent que quelques groupes dagriculteurs disposant de ressources (formation, réseaux sociaux, etc.). Par ailleurs, certaines organisations professionnelles agricoles ont été conçues spécifiquement comme un moyen pour mener à bien les projets. Leur développement et leur pérennité méritent dêtre plus mis au centre des actions de développement. |
Cote : | Demander à l'accueil |
URL / DOI : | http://alternatives-rurales.org/wp-content/uploads/2014/03/BilanPilierIIPourImprimer1.pdf |