Leyronas S., Rojat D., Maurel F., Giraud G. (2016). Un cadre danalyse pour la gouvernance des ressources naturelles. Le cas des eaux souterraines. Revue d'économie du développement, 01/07/2016, vol. 24, n. 3-4, p. 129-148.
https://doi.org/10.3917/edd.303.0129
https://doi.org/10.3917/edd.303.0129
Titre : | Un cadre danalyse pour la gouvernance des ressources naturelles. Le cas des eaux souterraines (2016) |
Auteurs : | S. Leyronas ; D. Rojat ; F. Maurel ; G. Giraud |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue d'économie du développement (vol. 24, n. 3-4, Juillet 2016) |
Article en page(s) : | p. 129-148 |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM GESTION DES EAUX ; EAU SOUTERRAINE ; GOUVERNANCE ; EPUISEMENT DES RESSOURCES ; IRRIGATION ; ACTION COLLECTIVE ; JORDANIECatégories principales 07 - ENVIRONNEMENT ; 7.3 - Eau. Gestion de l'Eau |
Résumé : | La gestion des eaux souterraines interroge le cadre dans lequel sest élaboré le concept de « bonne gouvernance » depuis les années 1990. Nous montrerons que dans des contextes marqués par une pluralité dinstances de pouvoir, lexploitation des ressources naturelles nécessite des modes de gouvernance hybrides, qui associent la coordination des actions individuelles, imposée ou impulsée par lÉtat, et les formes de laction collective dintérêt public ou dintérêt communautaire. Des articulations originales entre ces différents modes daction restent souvent à imaginer. Elles sont rendues nécessaires par le constat, sur le terrain, de léchec conjugué darrangements institutionnels purement marchands ou purement publics. En partant de lexemple de la nappe souterraine dAzraq en Jordanie, nous montrerons en quoi une gestion locale et des règles négociées, de type « communs », permettent de renforcer mutuellement action collective et action publique par une reconnaissance réciproque de leurs légitimités et de leurs échecs ou difficultés. |
Cote : | En ligne |
URL / DOI : | https://doi.org/10.3917/edd.303.0129 |