Lagoune H. (2018).
Mise en place dune méthode innovante de fertilisation azotée du blé tendre : résultats sur deux essais en Eure-et-Loir. Mémoire (Master 2 GAT) : CIHEAM-IAMM, Montpellier. 84 p. Mémoire Master 2. Gestion des territoires et développement local. Parcours : Gestion Agricole et Territoires [GAT]. Co-accréditation Université Paul Valéry de Montpellier, CIHEAM-IAMM
| Titre : | Mise en place dune méthode innovante de fertilisation azotée du blé tendre : résultats sur deux essais en Eure-et-Loir |
| Auteurs : | H. Lagoune |
| Type de document : | Thèse, Mémoire, Master |
| Editeur : | s.l. : s.n., 2018 |
| Format : | 84 p. |
| Note générale : | Mémoire Master 2. Gestion des territoires et développement local. Parcours : Gestion Agricole et Territoires [GAT]. Co-accréditation Université Paul Valéry de Montpellier, CIHEAM-IAMM |
| Langues : | Français |
| Langues du résumé : | Anglais ; Français |
| Catégories : |
Thésaurus IAMM ENGRAIS AZOTE ; FERTILISATION ; TRITICUM AESTIVUM ; EXPERIMENTATION ; METHODE ; RENDEMENT DES CULTURES ; DOSE D'APPLICATION ; EFFICACITE ; MODELE DE SIMULATION ; FRANCECatégories principales 06 - AGRICULTURE. FORÊTS. PÊCHES ; 6.6 - Technique Agricole (sols, engrais, mécanisation) |
| Résumé : | Le raisonnement de la fertilisation azotée de blé tendre se fait depuis très longtemps au moyen de la méthode du bilan classique, qui, par son principe productiviste quantitatif, a conduit à une amélioration de rendement mais à une pollution alarmante des eaux, lessivées par les nitrates. Une nouvelle méthode de raisonnement nommée APPI-N a été créée afin de répondre aux enjeux économiques et environnementaux contradictoires de la fertilisation azotée. Dans ce travail nous avons comparé expérimentalement, dans deux situations pédoclimatiques du département dEure-et-Loir (France), et dans le cadre du projet SOLINAZO (campagne 2017/2018) les performances de cette méthode et du modèle de culture CHN en termes de dose, rendement, protéines et efficience dutilisation dengrais. APPI-N et CHN se basent sur lINN pour déterminer la dose, nous avons donc comparé deux outils destimation de cet indicateur qui sont la pince N-Tester et le modèle CHN lui-même. Nos résultats ont montré que dans la situation de faible RSH la méthode APPI-N permet de réduire la dose totale de 50 U sans perte significative de rendement, une amélioration de CAU et de la teneur en protéines grâce à un fractionnement judicieux. Dans la situation à fort reliquat, la méthode APPI-N permet de corriger la dose et rattraper des pertes potentielles du rendement et des protéines suite à une sous-estimation de la dose par la méthode du bilan tout en restant efficient en termes dutilisation dengrais. Le modèle CHN à cause dune surestimation de lINN prédiction de lINN prévoit des doses faibles, allouées à des pertes significatives du rendement et des protéines. Enfin ni le modèle CHN, ni la pince N-Tester ne donnent des estimations précises de lINN ce qui peut constituer un frein pour la mise en uvre de ces nouvelles méthodes. |
| Nature du diplôme : | Mémoire (Master 2 GAT) |
| Université de soutenance : | CIHEAM-IAMM |
| Ville de l'université de soutenance : | Montpellier |
| Cote : | FRA-I74-LAG-2018 |
| Directeur de Thèse : | Belhouchette H. |
| Membres du Jury : | Belhouchette H.; Gratecap J.B.; Le Grusse P. |
Exemplaires (1)
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| 27801 | FRA-I74-LAG-2018 | Papier | Centre de documentation | Réserve Géographique | Disponible |


