Boukhriss S. (2019).
Evolution des gains de productivité et de profitabilité des élevages français des ruminants et leur variabilité, de 1988 à 2016. Mémoire (Master 2 I3P) : CIHEAM-IAMM, Montpellier. 55 p. Master 2 Economie et management publics. Parcours : Ingénierie des Projets et des Politiques Publiques. Co-accréditation Université de Montpellier : Faculté d'Economie, CIHEAM-IAMM.
Titre : | Evolution des gains de productivité et de profitabilité des élevages français des ruminants et leur variabilité, de 1988 à 2016 |
Auteurs : | S. Boukhriss |
Type de document : | Thèse, Mémoire, Master |
Editeur : | s.l. : s.n., 2019 |
Format : | 55 p. |
Note générale : | Master 2 Economie et management publics. Parcours : Ingénierie des Projets et des Politiques Publiques. Co-accréditation Université de Montpellier : Faculté d'Economie, CIHEAM-IAMM. |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Catégories principales 06 - AGRICULTURE. FORÊTS. PÊCHES ; 6.5 - Gestion des ExploitationsThésaurus IAMM RESEAU D'INFORMATION COMPTABLE AGRICOLE ; ELEVAGE ; RUMINANT ; OVIN ; BOVIN ; REVENU ; PRODUCTIVITE DU TRAVAIL ; AIDE DE L'ETAT ; POLITIQUE PUBLIQUE ; EXPLOITATION AGRICOLE ; HISTOIRE ; FRANCE |
Résumé : | La méthode des comptes de surplus permet d’expliquer l’origine et la distribution des gains de productivité, entre les différents agents économiques, d’une branche d’économie ou d’entreprises. Cette méthode a été appliquée sur la base des données agrégées du RICA de quatre Orientations Technico-Economiques d’élevage (45, 46, 47, 48). Au cours de la période 1988-2016, la productivité du travail s’est fortement accrue en élevage de ruminants français. Cette croissance a généré des effets différents selon les filières ; perte en productivité globale pour la filière bovine viande et celle des petits ruminants, contre un gain pour les bovins lait et mixte. Les gains économiques proviennent de l’Etat à 95%, 47%, 43%, 94%, respectivement pour bovins viande, lait, mixte et petits ruminants. De plus, l’aval des filières bovines allaitantes, laitières, mixtes et petits ruminants, capte respectivement 67%, 83%, 48% et 54% des gains. Ces résultats représentent un transfert clair des gains entre amont et aval des filières. Le revenu est difficilement maintenu pour des éleveurs bovins viande, en décélération chez l’élevage bovins laitiers et mixtes, mais en croissance pour les éleveurs des petits ruminants. Finalement, la relation entre les gains de productivité et les revenus n’est pas linéaire et les aides dans le cadre des politiques publiques ne parviennent pas toujours à leur cible initiale. L’analyse en composante principale et la typologie sur 41 exploitations bovines (viande) et 19 exploitations ovines allaitantes, montre que quelles que soient les tailles des exploitations, et les évolutions des structures et des pratiques sur les années étudiées, la dispersion du revenu moyen reste minime entre les groupes d’exploitations relevés. |
Nature du diplôme : | Mémoire (Master 2 I3P) |
Université de soutenance : | CIHEAM-IAMM |
Ville de l'université de soutenance : | Montpellier |
Cote : | FR-I61-BOU-2019 |
Directeur de Thèse : | Abdelhakim T. |
Membres du Jury : | Abdelhakim T.; Requier-Desjardins M.; Veysset P. |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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28099 | FRA-I61-BOU-2019 | Papier | Centre de documentation | Réserve Géographique | Disponible |