Bourbouze A. (1999). Gestion de la mobilité et résistance des organisations pastorales des éleveurs du Haut Atlas marocain face aux transformations du contexte pastoral maghrébin. In : Niamir-Fuller M. (ed.). Managing mobility in African rangelands: The legitimization of transhumance.
Rome (Italie) : FAO.
p. 236-265.
Titre : | Gestion de la mobilité et résistance des organisations pastorales des éleveurs du Haut Atlas marocain face aux transformations du contexte pastoral maghrébin |
in : | |
Auteurs : | A. Bourbouze |
Type de document : | Chapitre d'ouvrage |
Editeur : | Rome [Italie] : FAO, 1999 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-92-5-104297-7 |
Format : | p. 236-265 / 2 tabl., 6 graph. |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM MAROC ; HAUT ATLAS ; AFRIQUE DU NORD ; SOCIETE PASTORALE ; ELEVAGE ; SYSTEME AGROPASTORAL ; MODE DE FAIRE VALOIR ; PROPRIETE FONCIERE ; MILIEU RURAL ; ORGANISATION PAYSANNE ; LEGISLATION ; SYSTEME AGRAIRE ; DROIT COUTUMIER ; AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ; GESTION DES RESSOURCES ; MOBILITECatégories principales 06 - AGRICULTURE. FORÊTS. PÊCHES ; 6.4 - Production Agricole. Système de Production |
Résumé : | Le pastoralisme maghrébin reste fondamentalement marqué par la mobilité des troupeaux et des hommes d'une part, et par la persistance de vastes territoires à usage collectif d'autre part. Les changements de statut foncier remettent en cause les bases du système collectif pour promouvoir partout où c'est possible l'exploitation individuelle. Les institutions traditionnelles, en voie de disparition, résistent dans certaines régions isolées comme le Haut-Atlas marocain. Deux modèles d'organisation pastorale s'y rencontrent. Le premier représente le produit métissé d'une gestion coutumière et d'une volonté politique pour en fixer les règles sur le papier. La réglementation, consignée dans une charte, comprend un certain nombre de règles inspirées directement des pratiques locales. Le second modèle d'organisation est celui qui s'appuie sur les institutions coutumières, plus discrètes, et donc moins connues des autorités. Ces institutions sont simples (ex Agdal) mais fragiles puisqu'elles reposent sur un système très peu égalitaire |
Cote : | AFR-I61-NIA-1999 |