Ben Romdhane H., Khaldi R., Oueslati A., Skhiri H. (2002). Transition épidémiologique et transition alimentaire et nutritionnelle en Tunisie. In : Le Bihan G. (coord.). L'approche causale appliquée à la surveillance alimentaire et nutritionnelle en Tunisie.
Montpellier (France) : CIHEAM-IAMM.
p. 7-27.
(Options Méditerranéennes : Série B. Etudes et Recherches, n. 41).
http://om.ciheam.org/article.php?IDPDF=3400042
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Titre : | Transition épidémiologique et transition alimentaire et nutritionnelle en Tunisie |
Titre original: | [Epidemiological transition and food and nutritional transition in Tunisia] |
in : | |
Auteurs : | H. Ben Romdhane ; R. Khaldi ; A. Oueslati ; H. Skhiri |
Type de document : | Chapitre d'ouvrage |
Editeur : | Montpellier [France] : CIHEAM-IAMM, 2002 |
Collection : | Options Méditerranéennes : Série B. Etudes et Recherches, ISSN 1016-1228, num. 41 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-85352-245-8 |
Format : | p. 7-27 / 22 réf., 9 tabl., 14 graph. |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM TUNISIE ; SANTE PUBLIQUE ; EPIDEMIOLOGIE ; FERTILITE HUMAINE ; MORTALITE ; MODE DE VIE ; CONSOMMATION ALIMENTAIRE ; DEMOGRAPHIE ; POLITIQUE ECONOMIQUE ; POLITIQUE SOCIALE ; POLITIQUE ALIMENTAIRE ; SURVEILLANCE NUTRITIONNELLECatégories principales 08 - ALIMENTATION ; 8.3 - Politique et Sécurité Alimentaire |
Résumé : | Au cours des vingt dernières années, à la suite d'un développement socio-économique et sanitaire accéléré, la Tunisie a vécu une transition démographique appuyée. L'indice synthétique de fécondité est passé de 7,20 au cours des années 1960 à 2,09 en 2000. De par le début tardif de la baisse de la mortalité, survenue après les années 1950, de la rapidité de cette baisse et surtout de la baisse spectaculaire de la fécondité, on peut classer la Tunisie parmi les pays ayant suivi la variante du modèle tardif. En corollaire, la Tunisie est entrée dans une phase de transition épidémiologique caractérisée par la régression de la part des maladies transmissibles et l'accroissement de celle des maladies non transmissibles. Cette augmentation est en grande partie liée à une évolution marquée des modes de vie, notamment via des changements dans les modes de consommation alimentaire. Cette transition épidémiologique soulève des questions fondamentales, notamment sur son lien avec la transition alimentaire et nutritionnelle et sur ses principales causes que nous chercherons tout d'abord du côté des mutations socio-économiques, ensuite des choix de la politique démographique et des programmes nationaux de santé |
Cote : | TUN-I2-LEB-2002 |
URL / DOI : | http://om.ciheam.org/article.php?IDPDF=3400042 |