Tlili H. (1994). Vulgarisation agricole et communication de masse : avantages et limites (l'expérience du CIHEAM). In : Plaza P. (ed.). La vulgarisation, composante du développement agricole et rural : actes du séminaire de Grenade.
Montpellier (France) : CIHEAM-IAMM.
p. 47-56.
(Cahiers Options Méditerranéennes, n. 4, vol. 2).
Séminaire sur la Vulgarisation, Composante du Développement Agricole et Rural, 1993/11/24-26, Grenade (Espagne).
https://om.ciheam.org/article.php?IDPDF=94400043
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Titre : | Vulgarisation agricole et communication de masse : avantages et limites (l'expérience du CIHEAM) |
Titre original: | [Agricultural extension and mass media: Advantages and limits (the ICAMAS experience] |
in : | |
Auteurs : | H. Tlili |
Type de document : | Communication à un Congrès (avec Actes) |
Editeur : | Montpellier [France] : CIHEAM-IAMM, 1994 |
Collection : | Cahiers Options Méditerranéennes, ISSN 1022-1379, num. vol. 2, 4 |
ISBN/ISSN/EAN : | 1022-1379 |
Format : | p. 47-56 |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM REGION MEDITERRANEENNE ; VULGARISATION ; MOYEN DE COMMUNICATION DE MASSE ; LANGUE ARABE ; RADIO |
Résumé : | Une première partie de la communication dégage les enseignements tirés d'expériences plus ou moins similaires entreprises dans plusieurs pays en développement au cours des trente dernières années. Il s'agit d'un bilan qualitatif. La thèse laquelle les moyens de communication de masse constituent un moyen de développement et non un support est critiquée. La deuxième partie s'articule autour des spécificités de l'expérience de vulgarisation radiophonique menée par le CIHEAM et de la manière dont celle-ci a pu et pourrait évoluer. Les questions auxquelles nous essayons d'apporter des réponses aussi claires et précises que possible sont, entre autres : - dans quelle mesure est-on parvenu à contourner les obstacles techniques, linguistiques et socioculturels propres au message proposé ? - peut-on cibler, à la fois, un public initié et des publics non initiés et hétérogènes, par ailleurs ? - quels seraient les avantages et les risques de la fidélisation ? - quels contenus doit-on développer ? Y'a-t-il vraiment incompatibilité entre messages spécifiques et messages non spécifiques ? - pourquoi une approche vulgarisatrice multidimensionnelle est-elle nécessaire pour faire assumer aux médias un rôle non décisif mais de plus en plus important : celui d'être un support de développement ? A titre de conclusion sont formulées quelques autres questions : - que représente la culture scientifique pour les populations rurales dans les pays en développement ? Est-ce un investissement rentable à court, moyen ou long terme ? Comment y accéder ? - comment instaurer une véritable communication utilitaire participative entre les chercheurs et les médiateurs, d'une part, et les partenaires directs du développement rural, d'autre part ? - peut-on tout vulgariser ? Comment, à quel prix et pour quels objectifs ? |
Congrès : | Séminaire sur la Vulgarisation, Composante du Développement Agricole et Rural, 1993/11/24-26, Grenade (Espagne) |
Cote : | BM-I31-PLA-1994 |
URL / DOI : | https://om.ciheam.org/article.php?IDPDF=94400043 |