Ilbert H. (dir.). (2002). Biodiversité : savoirs protégés, savoirs partagés. 6 fiches pour comprendre, anticiper, débattre. Montpellier (France) : Solagral. n.p.
Titre : | Biodiversité : savoirs protégés, savoirs partagés. 6 fiches pour comprendre, anticiper, débattre |
Titre original: | [Biodiversity: protected knowledge, shared knowledge. 6 fascicules to understand, anticipate and discuss] |
Auteurs : | H. Ilbert, dir. |
Type de document : | Ouvrage |
Editeur : | Montpellier [France] : Solagral, 2002 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84034-035-5 |
Format : | n.p. |
Langues : | Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM BIODIVERSITE ; RESSOURCE GENETIQUE ; CONVENTION ; INNOVATION ; PROPRIETE INTELLECTUELLE ; DROIT ; BREVET ; BIOTECHNOLOGIE ; ACCORD INTERNATIONAL ; MANUELCatégories principales 11 - COMMERCE ; 11.3 - Commerce Extérieur et International |
Résumé : | Ces 6 fiches présentées de façon didactique avec exposés clairs, photos et schémas ont pour but d'expliciter la biodiversité dans ses différentes approches. La première introduit le débat sur la considération de leur espace ou ressources naturelles comme bien public. La deuxième explicite les sciences du vivant comme nouveau paradigme scientifique et technique. L'accélération de l'appropriation privée du vivant va de pair avec le développement d'un énorme marché pharmaceutique et chimique. Le vivant est aujourd'hui soumis aux règles internationales de reconnaissance de la propriété intellectuelle rémunérant le travail d'invention et d'innovation des chercheurs et des investisseurs. La troisième explicite ces règles qui se sont renforcées depuis 1985 sous l'égide du Gatt. Elles se sont formalisées avec la signature en 1994 du traité sur les aspects des droits de propriété intellectuelle liés au commerce (ADPIC) et s'appliquent au vivant. Dans ce contexte, les Etats ont le choix entre 2 grandes options pour protéger leur environnement, leur recherche et leur économie. La première - l'utilisation du brevet - est expliquée en fiche 4. La deuxième est la voie ouverte par la Convention Biodiversité qui permet d'établir un système sui generis compatible avec l' Adpic. (fiche 5). Chaque pays dispose dans ce processus de sa capacité de financement, de sa capacité à se mobiliser pour faire reconnaître les droits des populations autochtones. Il faut enfin faire reconnaître la Convention Biodiversité comme une source de droit au même titre que l'Adpic et l'Omc |
Cote : | M41-ILB-2002 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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10168 | M41-ILB-2002 | Papier | Centre de documentation | Réserve Thématique | Disponible |