Sbai H. (2011).
Durabilité et consommation alimentaire : une analyse en termes de cycle de vie du produit : cas de la tomate. Mémoire (Master of Science) : CIHEAM-IAMM, Montpellier. 113 p. (Master of Science : Professionnel, n. 799). Master soutenu, non publié
Titre : | Durabilité et consommation alimentaire : une analyse en termes de cycle de vie du produit : cas de la tomate |
Auteurs : | H. Sbai |
Type de document : | Thèse, Mémoire, Master |
Editeur : | Montpellier [France] : CIHEAM-IAMM, 2011 |
Collection : | Master of Science : Professionnel, num. 799 |
Format : | 113 p. / réf., graph., ill., tabl. |
Note générale : | Master soutenu, non publié |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM CONSOMMATION ALIMENTAIRE ; DEVELOPPEMENT DURABLE ; COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR ; ANALYSE DU CYCLE DE VIE ; TOMATE ; PRODUIT FRAIS ; PRODUIT TRANSFORME ; EVALUATION IMPACT SUR ENVIRONNEMENT ; FRANCECatégories principales 08 - ALIMENTATION ; 8.1 - Consommation Alimentaire. Comportement |
Résumé : | La consommation alimentaire est susceptible damplifier la dégradation de lenvironnement. Dans le cadre du projet ANR Flonudep, ce travail se propose de mettre laccent sur les comportements dachat, de stockage, de préparation et de gestion des déchets au niveau du consommateur pour la tomate fraiche et transformée afin de mesurer les effets environnementaux à partir dune analyse de cycle de vie. Une enquête auprès des consommateurs (800 personnes) de trois régions françaises : Ile de France, Pas-de-Calais et Languedoc-Roussillon a permis de faire une typologie des comportements de ces consommateurs et de comprendre leur perception de lalimentation durable, qui signifie pour la moitié, voire plus, de notre échantillon, une alimentation bio, équitable, des produits locaux ou encore des produits bons pour la santé. Il ressort que les deux groupes de consommateurs du sud utilisent la voiture pour faire leurs achats, alors que les groupes de consommateurs du nord préfèrent aller à pied. Contrairement au deuxième groupe, le premier ne conserve pas les tomates fraiches au réfrigérateur. Les principaux résultats obtenus au terme de cette analyse sont les suivants : (i) La partie achat est lactivité qui a le plus dimpact environnemental concernant la consommation des tomates fraiches. (ii) La structure dimpact est également répartie entre les activités achat, préparation et gestion des déchets pour la consommation des tomates transformées. (iii) La consommation de 1Kg de tomate fraiche a plus deffets négatifs sur lenvironnement (0,1 Kg eq CO2) que la consommation de tomate transformée équivalente à 1Kg en frais (0,027 Kg eq CO2). (iv) La contribution qui impacte le plus les GES est lachat en voiture. Pour cette raison les groupes de consommateurs habitant le sud du pays ont plus dimpact environnemental. |
Nature du diplôme : | Mémoire (Master of Science) |
Université de soutenance : | CIHEAM-IAMM |
Ville de l'université de soutenance : | Montpellier |
Cote : | FRA-I2-SBA-2011 |
Directeur de Thèse : | Padilla M. |
Président du Jury : | Tozanli S. |
Membres du Jury : | Fort F.; Padilla M. |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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22869 | FRA-I2-SBA-2011 | Papier | Centre de documentation | Réserve Géographique | Disponible |