Demydas T. (2013). Lifestyle factors, dietary quality and health: econometric evidence from US micro data. Revue d'études en agriculture et environnement, 01/04/2013, vol. 94, n. 2, p. 135-163.
https://ideas.repec.org/a/rae/jourae/v94y2013i2p135-163.html
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Titre : | Lifestyle factors, dietary quality and health: econometric evidence from US micro data (2013) |
Auteurs : | T. Demydas |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue d'études en agriculture et environnement (vol. 94, n. 2, 01/04/2013) |
Article en page(s) : | p. 135-163 |
Langues : | Anglais ; Français |
Langues du résumé : | Anglais |
Catégories : |
Thésaurus IAMM MODE DE VIE ; QUALITE ; REGIME ALIMENTAIRE ; SANTE ; MODELE ECONOMETRIQUE ; MALADIE CARDIOVASCULAIRE ; ETATS UNISCatégories principales 08 - ALIMENTATION ; 8.2 - Nutrition. Alimentation Humaine. Santé |
Résumé : | Cette étude sappuie sur la théorie de la « production domestique » afin de déterminer comment les caractéristiques socio-économiques et les choix comportementaux affectent létat de santé dun individu (ici relatif aux maladies cardio-vasculaires). Le Modèle déquation structurelle (SEM), utilisé afin détablir une estimation, permet de modéliser les données médicales en variables endogènes dans le but dévaluer les liens hypothétiques entre ces variables (par exemple entre le poids et lusage de la cigarette) et détudier leur contribution au développement d un état de santé particulier. De plus, les effets directs des caractéristiques personnelles exogènes sur la santé peuvent être différentiés de leur impact indirect provenant des choix de styles de vie. Afin daméliorer les caractéristiques de mesures, létat de santé est modélisé par une variable latente dans le SEM. Les résultats indiquent une multi-dimensionnalité de létat de santé cardio-vasculaire, qui est représenté de manière plus adéquate par un modèle de variable latente à deux facteurs plutôt quà un modèle à facteur unique. De plus, les deux dimensions spécifiques de santé (hypertension et taux de lipides) sont (partiellement) différemment expliquées par les variables du modèle. Alors quun poids élevé a un impact négatif important sur les dimensions de santé, un régime riche en FV (fruits & légumes) diminue le risque dhypertension. Dautre part, un niveau détudes supérieur sest révélé être en corrélation avec des taux de graisses dans le sang faibles. Une attention particulière a été portée dans le modèle sur limpact (in)direct de léducation et du revenu. Les deux variables se sont révélées être liées à un tabagisme moins fréquent et à un temps consacré à des loisirs « sédentaires » plus réduit. Cependant, il ny a pas dimpact direct sur le régime alimentaire. Celui-ci est plutôt lié à leffet positif de ces deux variables sur les connaissances en nutrition. |
Cote : | En ligne |
URL / DOI : | https://ideas.repec.org/a/rae/jourae/v94y2013i2p135-163.html |