Atchemdi-Aboub Komi A. (2014). Contribution à la réflexion sur loptimisation au mieux de ladéquation entre production et protection de biodiversité : cas de la forêt naturelle de Séhary Guebli dAin Mâabed (Djelfa). Revue des régions arides, 01/09/2014, n. 35, p. 409-416.
http://www.ira.agrinet.tn/imgcommon/files/RRA35_session%201.pdf
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Titre : | Contribution à la réflexion sur loptimisation au mieux de ladéquation entre production et protection de biodiversité : cas de la forêt naturelle de Séhary Guebli dAin Mâabed (Djelfa) (2014) |
Auteurs : | A. Atchemdi-Aboub Komi |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue des régions arides (n. 35, 01/09/2014) |
Article en page(s) : | p. 409-416 |
Note générale : | Session 1 |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Arabe ; Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM GESTION DES RESSOURCES NATURELLES ; RESSOURCE FORESTIERE ; BIODIVERSITE ; SYSTEME DE PRODUCTION ; PLANTE A HUILES ESSENTIELLES ; PLANTE MEDICINALE ; ZONE ARIDE ; DJELFA ; ALGERIECatégories principales 06 - AGRICULTURE. FORÊTS. PÊCHES ; 6.7 - Forêts |
Résumé : | Cette contribution, basée sur lapproche de la gestion courante des ressources naturelles, a permis de mener une enquête auprès de 405 usagers du massif forestier de Séhary Guebli (MFSG). Elle a prouvé quil est le trésor vivant de la région et que son rôle ne se limite pas à la fonction de protection. En effet, depuis 1984, la gestion quotidienne du MFSG essaie de protéger sa biodiversité (produits ligneux et non ligneux) ou les autres ressources naturelles (sol, microclimat, eau) et assure la coexistence de deux principaux systèmes de production avec 91% de sédentaires : système de culture et celui pastoral. Létude révèle que dautres services et produits sont présents, mais en quantité insignifiante. Cest lutilisation des plantes aromatiques, médicinales et lartisanat (ensemble 9%) et des services récréatifs. Il existe une rivalité dintérêts entre ceux qui tentent de tirer le maximum de profits contre un moindre coût aboutissant à des effets positifs et négatifs, parfois au désavantage du MFSG (64% denquêtés). Son accès est règlementé de façon statique et malgré linterdiction de pâture en forêt, 82% des producteurs lutilisent, en raison des résidants dans le MFSG, de lignorance des règles (89%) et de son immensité (32400 ha), il existe 33% des fraudes non sanctionnées. Tout cela révèle la défaillance des orientations non spécifiques de la gestion courante. |
Cote : | En ligne |
URL / DOI : | http://www.ira.agrinet.tn/imgcommon/files/RRA35_session%201.pdf |