El Debs M. (2014).
Bilan hydrique et estimation des besoins en eau des cultures au niveau de Deir El Ahmar [Liban] : quelle variabilité selon les années climatiques ? Mémoire (Master 2 GAT) : Université Libanaise, Beyrouth (Liban). 63 p. Mémoire Master 2 Ingénierie du Développement Territorial et Environnement (IDTE). Parcours : Gestion Agricole et Territoires [GAT]. Partenariat avec la Faculté d'Agronomie de l'Université Libanaise
Titre : | Bilan hydrique et estimation des besoins en eau des cultures au niveau de Deir El Ahmar [Liban] : quelle variabilité selon les années climatiques ? |
Auteurs : | M. El Debs |
Type de document : | Thèse, Mémoire, Master |
Editeur : | s.l. : s.n., 2014 |
Format : | 63 p. |
Note générale : | Mémoire Master 2 Ingénierie du Développement Territorial et Environnement (IDTE). Parcours : Gestion Agricole et Territoires [GAT]. Partenariat avec la Faculté d'Agronomie de l'Université Libanaise |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM RESERVOIR D'EAU ; BILAN HYDRIQUE ; SYSTEME D'INFORMATION GEOGRAPHIQUE ; IRRIGATION ; GESTION DES EAUX ; LIBANCatégories principales 07 - ENVIRONNEMENT ; 7.3 - Eau. Gestion de l'Eau |
Résumé : | Pour développer le secteur agricole, lEtat libanais investit dans le développement de la gestion des ressources en eau et en particulier dans lirrigation. Cet investissement a pour but dune part daméliorer le rendement des cultures et dautre part dintroduire de nouvelles variétés pour améliorer les rendements. Ce travail, basé sur un modèle hydro-agricole et une année sèche, a pour but de définir et spatialiser les cultures pratiquées, quantifier les surfaces agricoles, étudier les systèmes dirrigation utilisés et les ressources en eau disponibles et enfin, calculer la consommation en eau des cultures dans le village de Deir El Ahmar. Il ressort de cette étude une très grande différence entre les quantités deau consommées et les quantités prélevées, qui est due à la détérioration des conduites des systèmes dirrigation. Il en résulte une différence importante entre les besoins en eau des cultures et les quantités apportées. Nous constatons une mauvaise répartition de leau : ainsi, la plupart des cultures annuelles sont cultivées en sec alors que lirrigation leur serait nécessaire, ce qui peut diminuer leur rendement. Les lacs collinaires sont dun grand bénéfice pour les agriculteurs de la zone mais en cas dannée sèche, leau est insuffisante doù la nécessité de la construction de nouveaux lacs. |
Nature du diplôme : | Mémoire (Master 2 GAT) |
Université de soutenance : | Université Libanaise |
Ville de l'université de soutenance : | Beyrouth (Liban) |
Cote : | Réservé lecteur CIHEAM |
Directeur de Thèse : | Belhouchette H. |