Fournier S., Bienabe E., Marie-Vivien D., Durand C., Sautier D., Cerdan C. (2018). Les indications géographiques au regard de la théorie des communs. Revue internationale des études du développement, 01/01/2018, n. 233, p. 139-162.
http://doi.org/10.3917/ried.233.0139
http://doi.org/10.3917/ried.233.0139
Titre : | Les indications géographiques au regard de la théorie des communs (2018) |
Auteurs : | S. Fournier ; E. Bienabe ; D. Marie-Vivien ; C. Durand ; D. Sautier ; C. Cerdan |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue internationale des études du développement (n. 233, 01/01/2018) |
Article en page(s) : | p. 139-162 |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Français ; Anglais ; Espagnol |
Catégories : |
Thésaurus IAMM INDICATION GEOGRAPHIQUE PROTEGEE ; RESSOURCE TERRITORIALE ; GESTION DES RESSOURCES ; BIEN COMMUN ; VIN ; CAFE ; RIZ ; VIET NAM ; AFRIQUE DU SUD ; BRESIL ; INDE ; INDONESIECatégories principales 04 - DEVELOPPEMENT LOCAL ET REGIONAL ; 4.3 - Appellations liées au Territoire. Produits du Terroir. Qualité |
Résumé : | Si, dun point de vue théorique, les indications géographiques (IG) peuvent être considérées comme des biens de club ou des ressources communes, nous considérons que leur conception par les parties prenantes comme des ressources communes territoriales est un facteur clé de leur succès, via la coordination entre acteurs et larticulation aux dynamiques territoriales que cela implique. À partir détudes de cas en Asie, Afrique et Amérique latine, nous montrons cependant la difficulté de linstauration dun mode de gestion approprié, du fait de la multiplicité des objectifs assignés aux IG, du possible désintérêt des acteurs si la valorisation de lIG est jugée incertaine, et a contrario déventuelles appropriations par un groupe restreint si cette valorisation est avérée. |
Cote : | En ligne |
URL / DOI : | http://doi.org/10.3917/ried.233.0139 |