Addi F., Elame F., Chadli O. (2018). Gestion du système d'irrigation dans l'espace oasien : modélisation par la théorie des jeux. Revue marocaine des sciences agronomiques et vétérinaires, 01/12/2018, vol. 6, n. 4, p. 590-596.
https://www.agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/594
https://www.agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/594
Titre : | Gestion du système d'irrigation dans l'espace oasien : modélisation par la théorie des jeux (2018) |
Auteurs : | F. Addi ; F. Elame ; O. Chadli |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue marocaine des sciences agronomiques et vétérinaires (vol. 6, n. 4, 01/12/2018) |
Article en page(s) : | p. 590-596 |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Thésaurus IAMM GESTION DES EAUX ; RESSOURCE EN EAU ; IRRIGATION ; CONFLIT D'USAGE ; THEORIE DES JEUX ; COMPORTEMENT DES AGRICULTEURS ; OASIS ; MAROCCatégories principales 07 - ENVIRONNEMENT ; 7.3 - Eau. Gestion de l'Eau |
Résumé : | Les conflits autour des ressources en eau découlent principalement des désaccords sur laccès et le contrôle de ces ressources. Ces conflits sont le résultat de la demande de plus en plus accentuée pour les ressources et leur endurance risquera de provoquer des réactions violentes et une dégradation environnementale. Pour plusieurs raisons, notre analyse s'est basée sur la théorie des jeux et plus précisément, le jeu du dilemme du prisonnier, dune part car la théorie des jeux constitue loutil le plus approprié pour décrire réellement les comportements des acteurs, et dautre part car le jeu du dilemme du prisonnier sapplique parfaitement aux situations de surexploitation des ressources communes dans la mesure où il montre clairement la confrontation entre lintérêt individuel et lintérêt collectif. Lapplication de la théorie de jeux sur la base du dilemme du prisonnier a montré que les agriculteurs de loasis de Tagant ont pu assurer une gestion efficace des ressources hydriques tout en esquivant toutes sortes de conflits et de querelles. Ils ont réussi donc à gérer lexploitation des ressources en eau moyennant une autorité locale appelé la Jmaa. |
Cote : | En ligne |
URL / DOI : | https://www.agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/594 |