FranceAgriMer (Paris, France). (2014). L'euro alimentaire en 2014 : partage de la valeur de la dépense alimentaire et impact dune hausse des prix agricoles. Paris (France) : Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche et des Affaires Rurales. 9 p. (La Lettre de l'Observatoire de la Formation des Prix et des Marges des Produits Alimentaires, n. 14).
https://observatoire-prixmarges.franceagrimer.fr/sites/default/files/sauv/rapports-au-parlement-et-lettres/2017_12_lettre_n14_v03.pdf
https://observatoire-prixmarges.franceagrimer.fr/sites/default/files/sauv/rapports-au-parlement-et-lettres/2017_12_lettre_n14_v03.pdf
Titre : | L'euro alimentaire en 2014 : partage de la valeur de la dépense alimentaire et impact dune hausse des prix agricoles |
Auteurs : | FranceAgriMer (Paris, France) |
Type de document : | Rapport, Expertise, Working Paper |
Editeur : | Paris [France] : Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche et des Affaires Rurales, 2014 |
Autre Editeur : | Paris [France] : FranceAgriMer |
Collection : | La Lettre de l'Observatoire de la Formation des Prix et des Marges des Produits Alimentaires, num. 14 |
Format : | 9 p. |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Français |
Catégories : |
Catégories principales 10 - INDUSTRIES ; 10.2 - IAA (en général)Thésaurus IAMM INDUSTRIE ALIMENTAIRE ; SYSTEME AGROALIMENTAIRE ; SECTEUR AGROINDUSTRIEL ; MONNAIE UNIQUE EUROPEENNE ; DEPENSE ; ALIMENTATION HUMAINE |
Mots-clés: | EURO ALIMENTAIRE |
Résumé : | En 2014, la consommation alimentaire, restauration incluse, contient en valeur 14,6% de produits agricoles domestiques. La valeur ajoutée totale induite par 100 de dépenses alimentaires sélève à 65,1 , le reste correspondant aux importations daliments et dintrants (respectivement 10,3 et 14,8 ) et aux taxes (9,8 ). Lagriculture reçoit (ou crée) 10% de la valeur ajoutée induite et 6,5% de la dépense de consommation. Les parts du commerce, de la restauration et des autres services sont respectivement de 24%, 21% et 22% de la valeur ajoutée induite, celle des industries alimentaires sélèvent à 18% et celles des autres industries à 5%. Le partage de leuro alimentaire a évolué depuis 1999 sous les effets structurants de lincorporation croissante de services dans loffre alimentaire, du développement des importations et de lévolution des rapports de prix des produits, notamment sous leffet de la baisse du soutien des prix agricoles, conséquence des réformes de la PAC. Les variations conjoncturelles des rapports de prix jouent également dans les variations interannuelles de la part de lagriculture dans leuro alimentaire. Les emplois induits par la consommation alimentaire sont évalués en 2014 à 2,6 millions déquivalents temps plein dont près de 70% hors agriculture et industries alimentaires. Ces emplois induits ont diminué de 7% depuis 1999, la progression dans le commerce et les services ne compensant pas la baisse dans lagriculture et lindustrie. La hausse de la dépense des ménages en produits alimentaires domestiques qui découlerait mécaniquement dune hausse de 10% des prix des produits agricoles domestiques serait de 4,4%, sous une hypothèse de taux de marges de commerce et de transport inchangés. Sur lensemble de la consommation alimentaire en produits domestiques et importés, restauration incluse, cette hausse serait de 2,7% ; elle porterait sur 20% des dépenses totales des ménages. |
Cote : | En ligne |
URL / DOI : | https://observatoire-prixmarges.franceagrimer.fr/sites/default/files/sauv/rapports-au-parlement-et-lettres/2017_12_lettre_n14_v03.pdf |