Ben Moussa R. (2023).
Etude de linfluence de lagriculture de conservation des sols sur le bilan hydrique dans des systèmes en grandes cultures irriguées. Mémoire (Master 2 CGAT) : CIHEAM-IAMM, Montpellier (France). 70 p. Mémoire Master 2. Gestion des territoires et développement local. Parcours : Changement climatique, gestion agricole et territoires [CGAT]. Co-accréditation Université Paul Valéry de Montpellier 3, CIHEAM-IAMM.
Titre : | Etude de linfluence de lagriculture de conservation des sols sur le bilan hydrique dans des systèmes en grandes cultures irriguées |
Auteurs : | R. Ben Moussa |
Type de document : | Thèse, Mémoire, Master |
Editeur : | s.l. : s.n., 2023 |
Format : | 70 p. |
Note générale : | Mémoire Master 2. Gestion des territoires et développement local. Parcours : Changement climatique, gestion agricole et territoires [CGAT]. Co-accréditation Université Paul Valéry de Montpellier 3, CIHEAM-IAMM. |
Langues : | Français |
Langues du résumé : | Anglais ; Français |
Catégories : |
Catégories principales 06 - AGRICULTURE. FORÊTS. PÊCHES ; 6.4 - Production Agricole. Système de ProductionThésaurus IAMM AGRICULTURE DE CONSERVATION ; BILAN HYDRIQUE ; IRRIGATION ; FRANCE |
Résumé : | Lagriculture de conservation des sols (ACS) est sujet dintérêt pour deux raisons principales, à savoir son potentiel d'adaptation et d'atténuation du changement climatique ainsi que son rôle dans l'économie de l'eau utilisée en agriculture. Cette étude cherche à évaluer les effets de l'ACS sur le bilan hydrique du sol, notamment lévaporation du sol et linfiltration de leau dans le sol, dans des conditions méditerranéennes et dans un contexte de transition en ACS (3 ans dACS). L'expérience prend lieu sur une parcelle expérimentale (Lironde) de l'INRAE de Lavalette (Montpellier, France). Le sol est de type limono-argilo-sableux. Deux facteurs sont pris en compte dans létude : les modalités dapport en eau et les pratiques culturale (ACS et agriculture conventionnelle). Les différentes modalités d'apport en eau comprennent l'irrigation par aspersion avec le canon enrouleur (ASP), l'irrigation goutte-à-goutte enterré à 40 cm de profondeur (GGE), ainsi que lirrigation pluviale avec une absence d'apport d'eau (PLU). Ensuite, les pratiques culturales ont été distinguées entre l'ACS et l'agriculture conventionnelle (LAB). Ces combinaisons ont donné lieu à six modalités expérimentales distinctes : ACS/ASP, ACS/GGE, ACS/PLU, LAB/ASP, LAB/GGE et LAB/PLU. Lévaporation du sol pour lirrigation par aspersion était plus élevée quavec les autres traitements (par exemple le GGE a évaporé 3 fois moins que lASP en LAB). Le couvert du sol par le résidu de culture a permis le ralentissement de lévaporation mais ne la pas limité. Cet effet est limité à 48h. Pour linfiltration, les Ksat sont plus élevées en LAB quen ACS. Ceci est en lien avec la compaction du sol en ACS présentant des résistances à la pénétration plus élevées et des densités apparentes plus élevées. |
Nature du diplôme : | Mémoire (Master 2 CGAT) |
Université de soutenance : | CIHEAM-IAMM |
Ville de l'université de soutenance : | Montpellier (France) |
Cote : | Réservé lecteur CIHEAM |
Directeur de Thèse : | Le Grusse P. |
Membres du Jury : | Requier-Desjardins D.; Dejean C.; Le Grusse P. |