PROTECTION OF KNOWLEDGE and DIVERSITY OF PRACTICE

Protection of knowledge – patents, geographical indications, labels – institutionalizes inter-connexions of living beings while defining what is appropriable and exploitable

These instruments of intellectual property rights emanate from international or national regimes (World Trade Organization or Biodiversity Convention) and generate interdependence links with the local organization practices which come with their specific protection forms (environmental chart, rights of indigenous peoples, etc.).
The main issue is to understand which power relations are implemented at different scales and to analyze the equilibrium between private property and collective action.

Objectives:

  • Analyzing the conditions for the emergence of intellectual property rights regimes;
  • Analyzing the power relations between States and Markets;
  • Analyzing the conditions for collective action.

Methods:

  • Establishing regular and distinct datasets for the analysis of power-knowledge places
  • Building of spatial and time scales, including the creation of interdisciplinary bridges
  • Analyzing the places for expression and institutionalization of the protection of knowledge and know-how forms
  • Knowledge capitalizing through different objects, from international negotiations to the schemes aimed at reputation property or collective action

Publications:

Petit M., Ilbert H. (2016). Geographic Indications and rural development: Implications for TTIP negotiations. In: Newcastle upon Tyne (UK): Cambridge Scholars Publishing. p. 209-227.

Lamani O., Ilbert H. (2016). La segmentation du marché oléicole. Quelles politiques de régulation du marché d’huile d’olive en Algérie ? New Medit, 01/09/2016, vol. 15, n. 3, p. 19-28.

Lamani O., Ilbert H., Khadari B. (2015). Stratégies de différenciation par l’origine des huiles d’olive en Méditerranée. Cahiers Agricultures. Mai-Juin 2015, vol. 24, n. 3, p. 145-150.

http://dx.doi.org/10.1684/agr.2015.0749

Ilbert H., Tekelioglu Y., Tozanli S., Çagatay S. (eds). (2013). Indications Géographiques, dynamiques socio-économiques et patrimoine bio-culturel en Turquie et dans les pays méditerranéens. Montpellier : CIHEAM. 232 p. (Options Méditerranéennes : Série A. Séminaires Méditerranéens; vol. 104). 2. Séminaire International d\’Antalya, 2010/12/16-19, Antalya (Turquie).

Ilbert H. (2011). Les indications géographiques, outils de construction des terroirs et de la biodiversité à l’aune des règles internationales du commerce : quelles tendances en Méditerranée ? In: Delfosse C. La mode du terroir et les produits alimentaires. Paris (France): Indes Savantes. p. 301-321.

Ilbert H., Petit M. (2009). Are geographical indications a valid property right? Global trends and challenges. Development Policy Review, vol. 27, n. 5, p. 503-528.

http://dx.doi.org/10.1111/j.1467-7679.2009.00457.x

Mots-clés : politiques publiques, relations économiques internationales, droits de propriété intellectuelle, brevets, indications géographiques, OMC, convention biodiversité, négociations internationales, Monde et Méditerranée

More information

Source of funding: Institutional projects CIHEAM and one-off projects

Contact: Hélène Ilbert (CIHEAM-IAMM), ilbert@iamm.fr

Partners:

  • CNRS, IDDRI, IRD, ISEM – France
  • UMR MOISA, AGAP, Université de Montpellier et de Provence – France
  • Université Abdelmalek Essaadi, IAV HII – Maroc
  • INRA – France
  • INRA – Maroc

MADRE

Agriculture métropolitaine pour un développement économique responsable, innovant et durable

Selon la FAO, un changement de paradigme dans le développement urbain et agricole ainsi que dans la planification et la formulation des politiques est nécessaire pour garantir l’accès à la sécurité alimentaire urbaine, à une meilleure gestion de l’environnement et à des liens renforcés entre le rural et l’urbain. Bien que reconnu comme levier majeur de l’éco-innovation pour la durabilité et la compétitivité des métropoles, l’agriculture métropolitaine et périurbaine (AMP) souffre toujours d’un «écart d’intégration», restant négligée par les décideurs publics, les chercheurs universitaires et le grand public. Par conséquent, le coût environnemental de la nourriture, bien qu’invisible, devient un grand fardeau pour les villes. Le projet MADRE vise à relever ce défi : impliquer les acteurs clés de l’AMP et créer une coopération transnationale dans la zone méditerranéenne. Visant à déclencher un processus de changement dans le modèle d’approvisionnement alimentaire des métropoles, le projet tirera parti de l’ensemble des connaissances académiques, des actions pilotes et des politiques, des réseaux et des coopérations transnationaux afin de permettre à l’AMP d’atteindre un niveau critique dans la zone méditerranéenne. L’évaluation approfondie des travaux existants fournira la base pour une responsabilisation des parties prenantes de l’AMP, puis pour un engagement formel à initier la formation d’un cluster transnational. Un tel processus de capitalisation impliquera une approche pluridisciplinaire, un partenariat pluraliste et multiniveaux des 5 pays méditerranéens (Espagne, France, Italie, Grèce et Albanie), chaque partenaire représentant une zone métropolitaine phare de son pays.

Objectifs

L’objectif principal de MADRE est d’initier la création d’un groupe transnational d’acteurs de l’agriculture métropolitaine et périurbaine afin d’améliorer leur capacité d’éco-innovation.

Activités

  • Faire un état de lieu sur les bonnes pratiques de l’AMP en Europe et ailleurs ;
  • Former des groupes de travail métropolitains dans 6 métropoles (Barcelone, Bologne, Marseille, Montpellier, Thessalonique, Tirana) en rassemblant les décideurs publics, les chercheurs universitaires, les producteurs (agriculteurs, industriels, distributeurs, logisticiens) et la société civile ;
  • Former des groupes de travail transnationaux pour la création d’un cluster transnational sur l’AMP basés sur les bonnes pratiques dans les 6 métropoles ;
  • Essaimer les bonnes pratiques à partir du cluster transnational afin de créer un groupe de pression pour sensibiliser les autorités publiques métropolitaines.

Résultats et impact du projet

  • Consolidation des connaissances sur les bonnes pratiques existantes afin d’optimiser la capacité d’éco-innovation des réseaux de l’AMP ;
  • Dissémination dans la zone méditerranéenne de bonnes pratiques consolidées pour un brassage transnational afin de rendre les bonnes pratiques de l’AMP opérationnelles dans les diverses métropoles de la zone méditerranéenne ;
  • Renforcement des réseaux des acteurs locaux, régionaux et nationaux œuvrant pour l’AMP pour augmenter leur impact sur les politiques publiques métropolitaines.

Coordinateur

Agence des Villes et Territoires Méditerranéens Durables (AVITEM), – France

En savoir plus

Source de financement : Programme Interreg Med/ fonds UE FEDER

Contacts :

  • Candice Le Tourneur (AVITEM) – Responsable projet – c.letourneur@avitem.fr
  • Selma Tozanli (CIHEAM-IAMM) – selmatozanli@gmail.com
  • Fatima El Hadad – Gauthier (CIHEAM-IAMM) – elhadad@iamm.fr

Budget total : 1 173 175 €

Partenaires :

  • ANIMA Investment Network (ANIMA) – France
  • CIHEAM – Institut Agronomique Méditerranéen de Montpellier (CIHEAM-IAMM) – France
  • Mediterranean Cities Network (Med Cities) – Espagne
  • Aristotes University of Thessaloniki (AUTH) – Grèce
  • Metropolitan City of Bologna (CimetBo) – Italie
  • Agricultural University of Tirana (UBT) – Albanie

HASAD

Développement agricole durable des zones de collines : régions d’Akkar et Baalbeck-Hermel

Le projet HASAD apporte une assistance technique aux petits agriculteurs dans deux régions défavorisées du Liban : le Akkar et Baalbeck-Hermel par la création et la gestion de centres de services par les unions de coopératives régionales

Objectifs

  • Apporter un appui technique aux unions de coopératives de Al Joumieh (Akkar) et à l’union régionale des coopératives de Baalbeck-Hermel pour transformer les services fournis aux agriculteurs en centres de services agricoles (Farming Service Centre (FSC)) opérationnels et autonomes
  • Améliorer la productivité et la qualité des productions locales pour améliorer les revenus et renforcer les liens avec le marché
  • Assurer la durabilité du projet par la mise en place d’un modèle économique viable des FSC et l’accès à de nouveaux marchés

Activités

  • Amélioration des infrastructures des FSC
  • Renforcement des capacités des membres des FSC et des agriculteurs
  • Développement des activités de vulgarisation et de conseil aux agriculteurs
  • Amélioration du marketing et de l’accès au marché

Résultats et impact

  • Amélioration de la qualité des productions et création de marque locale et label biologique
  • Amélioration des revenus des agriculteurs des deux régions cibles
  • Autonomie technique et financière des FSC

Coordinateur

CIHEAM-IAMM – France

En savoir plus

Source de financement : Fonds International de Développement Agricole (FIDA)

Contact : Tahani Abdelhakim (contact@iamm.fr)

Budget total : 1 499 058 €

Partenaires :

  • Centre d’Expérimentation Horticole de Marsillargues (CEHM) – France
  • Institut de l’Olivier (IO) – Tunisie

MODELECO

Définition d’un modèle de programmation mathématique pour une sécurité alimentaire durable au 21ème siècle

Résumé du projet

Construction de 5 modules d’auto-apprentissage (cours de base) et d’enseignement (cours avancés) sur les techniques de modélisation basées sur la programmation mathématique pour l’analyse économique de l’agriculture et de l’environnement permettant de promouvoir une agriculture durable et un meilleur approvisionnement alimentaire au 21ème siècle.

Objectifs

  • Capitaliser les connaissances et les expériences d’enseignement en programmation mathématique pour une agriculture durable et un approvisionnement alimentaire amélioré
  • Renforcer le réseau d’experts en modélisation en Europe et dans le pourtour méditerranéen, travaillant sur des modèles intégrés de programmation mathématique au niveau des politiques agricoles
  • Développer des supports d’apprentissage à distance pour des cours en modélisation

Activités

  • Conception et développement de matériel d’auto-apprentissage et de cours avancés en modélisation disponibles sur une plateforme participative d’enseignement à distance
  • Organisation d’ateliers de diffusion et de cours internationaux sur la programmation mathématique à destination de scientifiques et de jeunes chercheurs méditerranéens

Résultats et impacts du projet

  • Amélioration des contenus des modules existants.
  • Amélioration des capacités des étudiants en Master à utiliser des techniques de programmation mathématique et plus particulièrement à développer des modèles pertinents dans leur travail de mémoire.
  • Mise au point de matériel d’auto-apprentissage permettant aux doctorants et post-doctorants de développer des modèles de simulation répondant aux besoins de leurs travaux de recherche.
  • Mise à disposition en ligne de supports pédagogiques pour des enseignants et chercheurs d’institutions d’enseignement supérieur européennes et du Sud de la Méditerranée.

Coordinateur

Institut National de la Recherche Agronomique (INRA/UMR Moisa) – France

En savoir plus

Source de financement : Agropolis Fondation
Contacts :

  • Florence JACQUET (INRA / UMR Moisa), Responsable du projet – florence.jacquet@inra.fr
  • Hatem BELHOUCHETTE (CIHEAM-IAMM / UMR System), coordonnateur – belhouchette@iamm.fr
  • Sophie THOYER (SUPAGRO/ UMR Lameta) – sophie.thoyer@supagro.fr
  • Sophie DROGUÉ (SUPAGRO-INRA / UMR Moisa) – sophie.drogue@supagro.inra.fr

Budget total : 147 800 €

Partenaires :

  • CIHEAM – Institut Agronomique Méditerranéen de Montpellier (CIHEAM-IAMM) – France
  • INRA Agro-Campus Ouest – France
  • INRA/Montpellier SupAgro – France
  • Institut International pour l’analyse des systèmes appliqués (IIASA) – Autriche

FORECAST

Forêts et intensification écologique des systèmes agricoles

Comment réduire l’empreinte de l’agriculture sur les forêts naturelles ? L’agro-écologie peut-elle s’appliquer aux systèmes de production agricole en milieu forestier et améliorer leurs performances et leur durabilité ? Le projet FORECAST va développer une plateforme en ligne sur l’agro-écologie en milieu forestier. Les utilisateurs y trouveront des ressources pédagogiques, des outils d’analyse et de modélisation, et une base de données d’études de cas de systèmes écologiques et sociaux (SES) forestiers permettant des analyses comparatives de l’impact et des performances des pratiques agricoles y étant mises en œuvre.

>> Site web

Objectifs

Une analyse comparative globale des systèmes de production agricoles pratiqués en milieu forestier permettra de repérer les pratiques agricoles les plus durables et de développer des propositions techniques réduisant l’impact écologique de l’agriculture tout en améliorant ses performances techniques, économiques et sociales. Le projet FORECAST vise à produire des outils d’analyse et des ressources pédagogiques pour mieux comprendre les systèmes agricoles en milieu forestier, les analyser et les comparer.

Activités

  • Production de ressources pédagogiques numériques ;
  • Production d’outils d’analyse pluri-disciplinaire et de modélisation des systèmes écologiques et sociaux (SES ) forestiers (analyse des performances techniques, économiques, sociales, écologiques), et d’une base de données en ligne ;
  • Test et validation des ressources pédagogiques et outils produits par des études de cas dans 3 pays (Cameroun, Madagascar, Nicaragua).

Résultats et impacts du projet

Une plateforme en ligne sur l’agro-écologie en milieu forestier mettant à disposition gratuitement :

  • Des nouvelles ressources pédagogiques
  • Un outil d’analyse et de modélisation pour évaluer les performances techniques, économiques, sociales et écologiques des pratiques agricoles et des SES forestiers.
  • Une base de données de cas d’étude de SES forestiers.

Coordinateur

Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD, UR Forêts et Sociétés, UMR Innovation, UMR System) – France

En savoir plus

Source de financement : Fondation Agropolis/ programme «Investissements d’avenir»

Contacts :

  • Laurène FEINTRENIE, Chercheur CIRAD, laurene.feintrenie@cirad.fr
  • Eric PENOT, Chercheur CIRAD, eric.penot@cirad.fr
  • Philippe Le Grusse, Enseignant-Chercheur CIHEAM-IAMM, legrusse@iamm.fr

Budget total : 200 000 €

Partenaires :

  • Montpellier Sup Agro (MSA, UMR Innovation) – France
  • Université Liège-Gembloux (groupe Gestion des ressources forestières) – Belgique
  • Université de Wageningen University (Farming systems ecology group) – Pays-Bas
  • École Régionale post-universitaire d’Aménagement et de gestion Intégrée des Forêts et Territoires tropicaux (ERAIFT) – République du Congo
  • Centro Agronómico Tropical de Investigación y Enseñanza (CATIE, programmes IDEA et PAAS) – Costa Rica
  • Ecole Supérieure des Sciences Agronomiques d’Antanarivo (ESSA) – Madagascar
  • Centre Technique Horticole de Tamatave (CTHT, équipe Hortsys) – Madagascar

QESAMED

Qualité en enseignement supérieur agronomique en Méditerranée

Ce projet Tempus IV vise à mettre en œuvre ou renforcer la formation au management qualité́ et à la métrologie – pour les étudiants comme pour les professionnels -, en produisant des formations et en développant des démarches qualité́ sur des processus de formation et de recherche. Ce faisant, il vise à rapprocher universités et entreprises.

>> Site web

Objectifs

  • Renforcer les capacités des établissements d’enseignement supérieur en améliorant leurs cursus de formation agronomique par la prise en compte de la démarche qualité et du processus métrologique.
  • Améliorer la mise en réseau des établissements d’enseignement supérieur et instituts de recherche agronomique entre les pays partenaires du Sud de la Méditerranée et les Etats membres de l’UE.

Activités

Ciblé sur la satisfaction de besoins du monde professionnel agronomique, le projet développe des activités de 3 types :

  • ACADÉMIQUE pour la formation : assurer la formation initiale des étudiants en agronomie aux impératifs de qualité et de métrologie ; développer des modules adaptés aux contextes des spécialités professionnelles ; construire des ressources en e-learning pour élargir le champ d’attraction des modules à coûts maîtrisés.
  • PROFESSIONNELLE : sensibiliser et mobiliser les cadres du secteur productif agronomique vis-à-vis des enjeux de la qualité et de la métrologie sous-tendant la compétitivité ; apporter aux professionnels concernés une formation adaptée (formation-action) ; préfigurer un vivier d’expertise et de partage d’expérience.
  • DIRECTEMENT APPLICATIVE dans les établissements de formation et de recherche : faire prendre en compte les impératifs de qualité et de métrologie dans les établissements eux-mêmes, d’une part pour l’organisation de la recherche et du transfert de technologies, d’autre part pour la construction et la certification des formations.

Résultat et impacts du projet

MONDE ACADÉMIQUE : création de 9 cours en ligne, estimés à 40 ECTS.

  • 5 modules de formation initiale (niveau licence-master) : Métrologie/Qualité ; Métrologie et qualité en sécurité sanitaire des aliments ; Agroalimentaire ; Exploitation non alimentaire ; Ressources en eau.
  • 4 modules de formation professionnelle : Sensibilisation Métrologie/Qualité ; Référentiels ; Auto-évaluation et audits ; Formation action intra/inter entreprises.

Un master spécialisé ‘Qualité et Métrologie’ a été créé à l’Université Cadi Ayyad (Maroc).

MONDE PROFESSIONNEL : les ateliers-pays (formations-action) ont été l’occasion de former plus de 1000 personnes, dont des professionnels, sur les thèmes suivants : Qualité, hygiène et sécurité sanitaire des aliments ; Incertitude et contrôle qualité ; Maîtrise statistique des procédés ; Comparaisons intra et inter-organismes ; Référentiels techniques produits ; Référentiels de management de la qualité.

APPLICATION DIRECTE (transfert) : deux sites-pilotes ont été appuyés durant le projet pour développer des démarche qualité ou métrologie au sein de l’organisme, soit pour mettre en place une démarche de certification, soit pour l’accréditation de laboratoires.

Coordinateur

CNAM (porteur du projet), CIRAD (porteur délégué) – France

En savoir plus

Source de financement : UE Tempus IV

Programme et contacts :

  • Marc Himbert (CNAM), chef de projet
  • Luc Martin (CIRAD), chef de projet délégué
  • Pierre Arragon (IAMM-Atelier Multimédia), responsable du WP4 «Ingénierie et production en e-learning»

Budget total : 1 280 000 €

Partenaires :

  • Univ. M’Hamed Bougara de Boumerdès – Algeria
  • Univ. Mohamed Khider de Biskra – Algeria
  • ENSAA (Ecole nationale supérieure agronomie, El Harrach) – Algeria
  • Univ. de Mons – Belgique
  • AUF (Agence française de la francophonie – Dir. Régionale Europe de l’Ouest, Bruxelles – Belgique
  • CIRAD (porteur délégué) (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement, Montpellier) – France
  • CAFMET (Comité africain de métrologie, Paris) – France
  • CIHEAM-IAMM (Institut agronomique méditerranéen de Montpellier) – France
  • Montpellier SupAgro – France
  • CIEP (Centre international d’études pédagogiques, Paris) – France
  • QUARES (Qualité en recherche et en enseignement supérieur, Montpellier) – France
  • Univ. de Catane – Italie
  • Univ. libanaise (Beyrouth) – Liban
  • Univ. du St Esprit de Kaslik (Jounieh) – Liban
  • Univ. Cadi Ayyad (Marrakech) – Maroc
  • IAV Hassan II (Institut agronomique vétérinaire, Rabat) – Maroc
  • ENA (Ecole nationale d’agriculture, Meknès) – Maroc
  • ENFI (Ecole nationale forestière d’ingénieurs, Rabat) – Maroc
  • Conseil régional de l’Oriental (Oujda) – Maroc
  • INAT (Institut national agronomique de Tnuisie, Tunis) – Tunisie
  • ISA Chott-Mariem (Institut supérieur agronomique, Chott Mariem) – Tunisie
  • Pôle de compétitivité de Bizerte – Tunisie